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31/12/2013 - Toute l'équipe Kwata vous souhaite de Bonnes fêtes et une bonne et heureuse année 2014 !
















17/12/2013 - Une nouvelle espèce de tapir découverte au Brésil







Une nouvelle espèce de tapir, animal de l'ordre des Périssodactyles (regroupant les tapirs, chevaux, zèbres, rhinocéros), a été découverte dans les régions amazoniennes des savanes, au nord de Porto Velho, à la frontière des états brésiliens de Rondônia et d'Amazonas. Le Tapirus kabomani est la première nouvelle espèce de Perissodactyle décrite depuis les 100 dernières années et l’un des plus grand mammifères découverts au cours du siècle passé. Cette découverte a été publiée le 16 décembre 2013 dans Journal of Mammmalogy, principale revue scientifique spécialisée dans les études relatives aux mammifères.

L'étude sur cette nouvelle espèce de tapir a commencé il y a 10 ans, par une équipe de professeurs et de chercheurs de l'Université fédérale de Minas Gerais (UFMG) et de Guyane. La première évidence est apparue après la découverte d'un crâne, dans les travaux menés par le paléontologue Mario Cozzuol, alors professeur à l'Université fédérale de Rondônia. Après des analyses morphologiques et génétiques approfondies d'autres crânes et tissus, recueillis avec l'aide des Amérindiens Karitiana vivant dans cette région du Brésil, il est apparu qu'il s'agissait bien d'une nouvelle espèce.

Cette nouvelle espèce est assez proche du "tapir brésilien", Tapirus terrestris, mais a des pattes plus courtes, une taille et un poids inférieurs, et une crête moins importante. Elle est également plus sombre, et est ainsi appelée "petit tapir noir" ("anta pretinha" en portugais) par certaines communautés amazoniennes. Selon Fabricio Santos, de l'Université Fédérale du Minas Gerais, coordinateur des études génétiques, cette nouvelle espèce de grand mammifère avait en fait été chassée dans le Nord du Mato Grosso par l'ancien président américain Theodore Roosevelt, au début du XXe siècle ! Le specimen prélevé à l'époque se trouve toujours dans la collection du Musée américain d'histoire naturelle à New York, aux États-Unis, sans que personne n'y prête une attention particulière, alors que Roosevelt avait lui-même écrit une petite note disant que selon les habitants de la région, ce tapir était différent des autres ... "Notre prochaine étape consiste à déterminer la répartition réelle et l'état de conservation de cette nouvelle espèce, qui est déjà probablement menacée, comme l'espèce plus commune au Brésil, Tapirus terrestris, considéré comme vulnérable par la Liste Rouge de l'Union Mondiale pour la Nature" explique Flavio Rodrigues, professeur d'écologie à l'UFMG et co-auteur de l'article .

Un point majeur dans ce processus de découverte du Tapirus kabomani a été la prise en compte des connaissances des communautés locales. Celui qui prend aujourd’hui la place de deuxième plus grand mammifère terrestre d'Amérique du Sud est pourtant passé inaperçu pendant longtemps aux yeux de la communauté scientifique. Malgré les similitudes avec le "tapir brésilien", les populations amérindiennes disent avoir toujours différencié les deux espèces, sans que la communauté scientifique n’y accorde beaucoup d'attention. La prise en compte de ces connaissances traditionnelles et le travail avec les communautés ont été un point majeur dans ce travail.


L'étude a été soutenue par la Fondation Boticario pour la protection de la nature, la Fondation pour l'appui à la recherche de l'État de Minas Gerais (FAPEMIG) et le développement scientifique et technologique nationale (CNPq) du Brésil, et, notamment pour le volet génétique, par le Centre d'Etude sur la Bidiversité Amazonienne, reconnu en France en 2010 "Laboratoire d'Excellence" dans le cadre des Investissements d'Avenir.



Cliché par photo piégeage de la nouvelle espèce Tapirus kabomani © Samuel Nienow













11/12/2013 - L’UICN change le statut Liste Rouge de la population de tortue luth de l’Atlantique nord-est.

Les tortues luth, réparties dans tous les grands bassins océaniques, comprennent des sous-populations génétiquement, biologiquement et géographiquement distinctes.

La Liste Rouge vient de ré-évaluer, comme elle le fait régulièrement pour toutes les espèces en danger, le statut de la tortue-luth.

Le statut de la population mondiale de tortues luth s’est amélioré en passant d’En Danger d’Extinction à Vulnérable, notamment du fait d'une augmentation avérée de 'activité de ponte depuis plus de 10 ans, sur près de 20 sites répartis dans toute la région

L’espèce est toutefois encore confrontée à des menaces sérieuses au niveau d'autres populations. En effet, les populations de l’est de Océan Pacifique ainsi que celle de l’ouest de l’Océan Pacifique enregistrent un déclin palpable.






La population du nord-ouest de l’Océan Atlantique (qui vient en partie pondre sur les côtes Guyanaises) à quant à elle vu sa population ré-augmenter du fait notamment des diverses initiatives de conservation. La population bénéficie donc d’un changement de statut passant de Vulnérable à Préoccupation mineure. Il s’agit là d’une bonne nouvelle pour les populations de tortue luth Guyanaises, montrant ainsi que les efforts entrepris depuis plus de 40 ans peuvent porter leurs fruits.
Il est cependant nécessaire de comprendre que la croissance future de la population et le maintien de ce statut dépend de la continuité et du succès des efforts de conservation en particulier sur les habitats mais aussi sur les causes de mortalités comme les prises accidentelles.

En effet l’UICN rappelle que « Le précédent effondrement historique de la population du Pacific, peut être inquiétant pour la population de l’Atlantique nord-ouest. Des menaces significatives persistent sur les sites de pontes et d’alimentation, et cette population du fait de sa grande distribution dépend de plus d’une dizaine de juridictions nationales et internationales, ce qui rend sa conservation d’autant plus complexe. Les efforts de protection doivent être maintenus voire augmentés pour permettre le maintien de l’augmentation de la population nord-ouest Atlantiques et prévenir d’éventuels déclins. »

Pour en savoir plus : http://www.iucnredlist.org/details/summary/46967827/0




© J. Ever



Qu’est ce que l’UICN ?

L’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN, en anglais IUCN) est la plus grande et la plus ancienne Organisation Non Gouvernementale (ONG) mondiale consacrée à la cause de la conservation de la nature. Fondée en 1948 à Fontainebleau, l’UICN est une alliance de plus de 1000 organismes membres et 11 000 experts, présent dans plus de 160 pays. C’est la seule organisation environnementale qui dispose du statut d’observateur auprès de l’ONU. Elle a pour mission d’influencer, d’encourager et d’assister les sociétés du monde entier, dans la conservation de l’intégrité et de la diversité de la nature, ainsi que, d’assurer que l’utilisation des ressources naturelles est faite de façon équitable et durable.
Le comité français est le 2ème comité national de par l’importance de son programme d’actions. Il joue un rôle actif pour coordonner et valoriser l’expertise et les propositions françaises sur la biodiversité.



Qu’est ce que la Liste rouge (Red List) ?

La Liste rouge de l’UICN constitue l’inventaire mondial le plus complet de l’état de conservation global des espèces végétales et animales. Elle s’appuie sur une série de critères précis pour évaluer le risque d’extinction de milliers d’espèces et de sous-espèces. Ces critères s’appliquent à toutes les espèces et à toutes les parties du monde.
Fondée sur une solide base scientifique, la Liste rouge de l’UICN est reconnue comme l’outil de référence le plus fiable sur l’état de la diversité biologique spécifique. Sur la base d’une information précise sur les espèces menacées, son but essentiel est d’identifier les priorités d’action, de mobiliser l’attention du public et des responsables politiques sur l’urgence et l’étendue des problèmes de conservation, et d’inciter tous les acteurs à agir en vue de limiter le taux d’extinction des espèces. Grâce à cet état des lieux, on sait aujourd’hui qu’une espèce de mammifère sur quatre, un oiseau sur huit, plus d’un amphibien sur trois et un tiers des espèces de conifères sont menacés d’extinction mondiale.



Comment la Liste rouge est-elle établie ?

Le système mis au point pour l’établissement de la Liste rouge est le résultat d’un vaste processus de concertation, d’élaboration et de validation de plusieurs années, mené par les experts de la Commission de sauvegarde des espèces de l’UICN.
Avec le système de la Liste rouge de l’UICN, chaque espèce ou sous-espèce peut être classée dans l’une des neuf catégories suivantes : Eteinte (EX), Eteinte à l’état sauvage (EW), En danger critique (CR), En danger (EN), Vulnérable (VU), Quasi menacée (NT), Préoccupation mineure (LC), Données insuffisantes (DD), Non évaluée (NE).
La classification d’une espèce ou d’une sous-espèce dans l’une des trois catégories d’espèces menacées d’extinction (CR, EN ou VU) s’effectue par le biais d’une série de cinq critères quantitatifs qui forment le coeur du système.
Ces critères sont basés sur différents facteurs biologiques associés au risque d’extinction : taille de population, taux de déclin, aire de répartition géographique, degré de peuplement et de fragmentation de la répartition.

Pour en savoir plus :
http://www.iucn.org/fr
http://www.iucnredlist.org













11/12/2013 - Rejoignez les Hurleurs de Guyane !


Télécharger le communiqué de presse des Hurleurs de Guyane ICI


















18/11/2013 - Une grenouille à tête de tapir... !!

… Lors de la session d’inventaire de la grande faune du secteur de la Mataroni (Régina) un animal très original a été capturé. Rien à voir avec les animaux recherchés pour l’étude (Biche, singes, Hocco …). Pour le trouver celui-ci nul intérêt de chercher dans les arbres ou dans le sous bois puisque sa vie, il la passe … dans le sol. Synapturanus aff. salseri est un genre d'amphibien de la famille des Microhylidae à l’allure bien originale. Ses membres courts et trapus, ses minuscules yeux et sa tête busquée sont parfaitement adaptés à ses mœurs souterraines. Cette rarissime capture permettra d’en savoir un peu plus (comportement, biométrie, génétique) sur cette espèce dont beaucoup de choses restent à découvrir.


* aff. : signifie "afférent à" c'est à dire qu'il s'agit du genre Synapturanus probablement de l'espèce salseri ou qui en est très proche et dont l'espèce n'est pas encore décrite.















- Fin de la première session de prospection lamantin pour 2013 - 2014

Dans le cadre du programme sur les lamantins, l’association s’est fixé depuis trois ans plusieurs objectifs. En parallèle au travail de communication et la réédition de la plaquette d’information, le travail d’enquêtes, initié en 2000 et 2001 a également été relancé en 2010. Le travail effectué lors des premières campagnes d’interviews il y a 10 ans avait montré une distribution large des lamantins, rapportés sur la quasi-totalité de la bande côtière. Cette distribution a été confirmée lors de la campagne récente, certaines observations ont même été faites sur des sites non encore connus, en particulier à plusieurs dizaines de kilomètres de la mer, sur des petits fleuves comme l’Iracoubo.

Un volet important de l’étude est ainsi la mise en place de méthodes d’inventaires quantitatifs: il s’agit, sur certaines zones, d’essayer d’estimer la taille des populations, ou tout au moins le nombre d’animaux présents à un instant donné.
Cette approche quantitative est un réel défi : les eaux turbides ne permettent aucune visibilité, les estuaires qui représentent l’essentiel de l’habitat du lamantin sont peu accessibles, nécessitent parfois un accès par la mer, et la navigation est parfois compliquée à l’approche de la côte.
Plusieurs méthodes sont ainsi mises en place en parallèle, et ont bénéficié des conseils de Nataly Castelblanco, une colombienne ayant une grande expérience des lamantins dans la région Caraïbes venue partager son expérience en avril 2012.

Durant le mois d’octobre près de 20 jours de terrains ont été nécessaire à l’association pour réaliser une nouvelle session de prospection. Nous avons pu bénéficier une fois de plus de la présence de Nataly Castelblanco. Durant cette session ce sont en tout 12 fleuves qui ont été prospectés pour prés de 400km de rivières parcourus correspondant à plus de 100h de prospections. Deux nouvelles sessions seront réalisées par l’association, chacune à un mois d’intervalle. Ainsi la prochaine aura lieu courant du mois de décembre.






























Un lamantin observé au sonar sur la Coswine.




















16/10/2013 - Portfolio Herpethofaune

Après un inventaire petit mammifère de près d'un mois sur la commune de Sinnamary, Antoine Baglan a eu l'occasion de croiser pas mal d'animaux notamment chez les serpents, grenouilles et lézards.
Nous avons le plaisir de vous faire découvrir quelques une de ses plus belles photos.

Cliquer sur l'image pour afficher le diaporama








08/10/2013 - Ce week-end venez nombreux nous retrouver au Kayen'nature à l'occasion des 20 ans du GEPOG







20/09/2013 - MERCI à l'ensemble des personnes mobilisées à nos côtés pendant près de 6 mois

Cette année, grâce au travail de nos équipes d’animateurs, de marqueurs mais surtout de nos bénévoles nous avons pu sensibiliser exactement 8855 personnes sur les plages !
Un chiffre remarquable que nous nous devons de relever et de saluer !!!

De plus, grâce à l’investissement sans faille de bénévoles motivés et passionnés et tout particulièrement Lydie et Erica, ce sont 7723 jeunes tortues qui à l’aube ont été sauvées d’une mort certaine et redirigées vers la mer.

Un grand MERCI à l’ensemble des personnes mobilisées à nos côtés pendant près de 6 mois !!





Émergence regagnant la mer / Joffrey auprès d’une tortue olivâtre / Erica redirige une jeune tortue / Deux jeunes tortues olivâtres, l’une d’entre elles est albinos. / La course vers l’océan ! © A. Baglan / E. Lavalle





04/09/2013 - Découvrez le site du Réseau Tortues Marines de Guyane

L'évaluation du Plan de Restauration des Tortues Marines 2007-2012 a montré la nécessité de poursuivre les efforts de conservation et de conforter les acquis, sous la forme d'un second plan de conservation, qui devra se projeter sur une période plus étendue, de 10 ans, afin de répondre aux caractéristiques biologiques d'espèces longévives comme les tortues marines.

Suite à un appel d'offre lancé par la DEAL (Direction de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement), l’ONCFS (Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage) a été retenu pour élaborer et mettre en œuvre le prochain plan d’action en faveur des tortues marines en Guyane.

La réunion de lancement s'est tenue le 13 mai dernier, à la Préfecture de Cayenne, en présence d'une trentaine de partenaires. Au cours de cette réunion, il est décidé de tenir deux réunions de concertation (à l'est et à l'ouest) afin de définir collectivement les différentes thématiques qui seront développées dans le futur plan d'actions.
A l'issue de cette réunion, le Comité de suivi a été constitué.

Découvrez le site internet du Réseau Tortues Marines Guyane ainsi que sa page facebook en cliquant sur l'image.



















20/08/2013 - La dernière plaquette Kwata vient de paraître !!









14/08/2013 - Ce week-end Grands Jeux collectifs sur la plage de Zéphyr avec Kwata ! !








12/08/2013 - Une belle observation !



© A. de Thoisy / Lontra longicaudis sur l'Approuague


La loutre néotropicale est largement distribuée en Amérique du Sue et en Amérique centrale, de l'Argentine au Mexique. Le désert méxicain marque la limite nord de l'aire de répartition. Elle fréquente ainsi une très large variété d'habitats.
Lontra longicaudis ressemble beaucoup à la loutre du Canada et à la loutre du Chili. D'allure massive, elle mesure plus de 120cm pour 15kg. Sa longue queue (plus d'un tiers du corps) lui a valu son nom latin de Lontra longicaudis. Contrairement à certaines espèces de loutres, elle ne vit pas en groupe. A l'heure actuelle, le manque d'informations et de données sur cette espèce ne permet pas à la Liste rouge de l'UICN de définir son statut.





06/08/2013 - Ce week-end Grand Concours de Sculptures sur Sable et de Land-Art




















30/07/2013 - Ce week-end grand jeu de carte et de bluff autour des tortues marines









23/07/2013 - Ce week-end animations gratuites en marge du tournoi sportif, plage de Zéphyr à Cayenne






10/07/2013 - Huit tortues olivâtres (Lepidochelys olivacea) quittent les plages de Rémire-Montjoly équipées d'émetteurs satellite.

Les mois de juin et juillet marquent la période des pics de ponte pour les tortues olivâtres (Lepidochelys olivacea) en Guyane. C’est aussi une nouvelle opportunité pour les chercheurs du CNRS (IPHC) et l’association Kwata de collaborer. Cette coopération s’est traduite par le déploiement de huit émetteurs satellite sur des tortues olivâtres. Ce matériel doit permettre d’acquérir de nombreuses informations sur la biologie et l’écologie de l’espèce, et d’aider les initiatives de conservation.



Quatre des huit tortues parties équipées d'émetteurs satellite © R.Berzins ONCFS


La tortue olivâtre fait partie des trois espèces de tortues marines pondant chaque année en grand nombre sur les plages de Guyane et plus particulièrement sur l’Ile de Cayenne. Si la tortue luth bénéficie d’un effort de suivi et de protection depuis plus de trente ans, la tortue olivâtre n’a été plus spécifiquement étudiée que depuis 2005.

En 2008, un premier partenariat entre le CNRS et l’association Kwata avait permis la mise en place de douze balises sur cette espèce, au départ de l’Ile de Cayenne, permettant d’obtenir des premières informations sur le comportement (localisation, plongées,…) des tortues entre deux pontes et notamment avant les fameuses «arribadas». Les résultats de ce travail peuvent être consultés sur :
http://www.kwata.net/medias/images/upload/Olivatre_2011Journal_of_animal_ecology.pdf




Damien Chevallier du CNRS (IPHC) assisté par l’équipe Kwata, pose l’un des émetteurs satellite sur une olivâtre (Lepidochelys olivacea). ©A.Brissinger.


C’est au cours de la dernière semaine du mois de Juin 2013 que l’équipe du CNRS, habituellement basée sur les plages d’Awala-Yalimapo, est venue sur Rémire-Montjoly. Les objectifs de cette opération sont multiples et s’inscrivent dans le cadre du Plan National d’Action en faveur des tortues marines, coordonné par l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS). Dans un premier temps, il s’agit de compléter les données sur les comportements entre deux pontes. Dans un deuxième temps, ces balises, programmées pour une dizaine de mois d’enregistrement, devraient permettre d’obtenir des premières données sur les déplacements et le comportement de plongée au cours de la migration post-ponte. Enfin, les localisations très précises acquises grâce à un couplage d’enregistreurs GPS et de transmission Argos permettront d’identifier les zones d’interactions avec les pêcheries et de mieux quantifier l’ampleur de cette menace.



Position des tortues le 9 juillet 2013. ©D. Chevallier/CNRS (IPHC).


Pour en savoir plus sur les activités du CNRS cliquez sur le logo :





17/07/2013 - Ce week-end "Cara-passe par là !" Grand Jeu coopératif en partenariat avec l'association Sapokaye.

Ce week-end venez nombreux plage des Salines !
Jeu GRATUIT sous réservation
VENEZ NOMBREUX
Nous contacter au 05 94 25 43 31 ou à lucile@kwata.net









10/07/2013 - Ce week-end Journée des Tortues Marines plage de Zéphir, grand concours de dessin


Ce week-end venez nombreux pour la Journée des Tortues Marines, plage de Zéphyr
Grand concours de dessin
Animation GRATUITE
VENEZ NOMBREUX
Nous contacter au 05 94 25 43 31 ou à lucile@kwata.net







Ce week-end venez nombreux pour retrouver et relâcher Toti.
Animation GRATUITE
Réservez dès à présent au 05 94 25 43 31 ou à lucile@kwata.net







02/07/2013 - Une belle observation sur les plages de Rémire-Montjoly


C’est ce matin à l’aube que 3 de nos bénévoles, Erica, Lydie et Patrice ont découvert une petite émergence qui leur a parut bizarre, en tout cas suffisamment différente des autres pour qu’ils la remarquent. Ils ont donc contacté Antoine, l’un de nos marqueurs mais aussi photographe, pour qu’il vienne voir.
Après consultation générale et grâce au guide de terrain de Erica il s’est avéré, à la surprise de tous, qu’il s’agissait d’une émergence de tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata). En effet, les imbriquées sont très peu nombreuses à venir pondre en Guyane (1 ponte répertoriée en 2013 et 3 en 2012), préférant les eaux claires des Seychelles, du Mexique et de l’Australie. Il est donc très rare de pouvoir observer les adultes venant pondre mais d’autant plus les jeunes sortant du nid et rejoignant la mer.
Grace à la présence accrue des bénévoles dès l’aube sur la plage et aux talents photographiques d’Antoine c’est avec joie que nous vous présentons le premier cliché d’émergence de tortue Imbriquée en Guyane.

N’hésitez pas à vous rendre sur le site d’Antoine Baglan en cliquant ICI, vous y découvrirez une multitude de magnifiques clichés.












Jeune imbriquée retournant à l'eau © A. Baglan
01/07/2013 - "Brésil et France, coupables de passivité face au scandale de l'or illégal en Guyane", une tribune co-signée par Chantal Berthelot dans le Kotidien du 28/06/2013


L’occasion est donnée avec le triste premier anniversaire de la mort de deux militaires français (le 27 juin 2012) tués par des orpailleurs clandestins lors d’une opération de sécurisation.

Cette tribune est signée par plusieurs députés PS et verts et des associations de défense de l’environnement (Guyane Nature Environnement, WWF…) avec une étrange absence que celle de l’autre député de Guyane.

Gabriel Serville aurait-il jugé inutile de rappeler les dégâts causés par l’orpaillage clandestin ou estime-t-il que cela ne concerne pas les électeurs de sa circonscription ?

Le texte revient d’un point de vue général sur le phénomène de l’orpaillage illégal mais également sur les relations franco-brésiliennes.


Brésil et France, coupables de passivité face au scandale de l'or illégal en Guyane

Le 27 juin 2012, deux militaires français engagés dans une opération de sécurisation du sud de la Guyane tombaient sous les tirs d'une bande de malfaiteurs liée à l'exploitation illégale de l'or (orpaillage clandestin).

Cet événement dramatique, ainsi que la mort d'un autre soldat en juillet 2010, sont à considérer comme une véritable déclaration de "guerre de l'or", résultat d'une inexorable dégradation de la situation.

En effet, malgré le déploiement d'opérations de lutte contre l'orpaillage illégal du territoire européen de Guyane dans le cadre du dispositif Harpie, malgré le démantèlement médiatisé d'importants villages illégaux, la situation sur le terrain n'a c
essé d'empirer : dans le seul Parc amazonien de Guyane, territoire du sud de la Guyane qui comprend des populations d'Amérindiens, de Bushinengues et de Créoles, le nombre de chantiers illégaux actifs est fortement à la hausse depuis
mars 2012. En dépit de ce contexte, la préfecture de Guyane choisit de ne pas informer sur l'ampleur globale du fléau.

Ce pillage de l'or à grande échelle s'appuie sur l'utilisation massive de mercure, qui permet d'amalgamer le minerai, puis se dissémine dans l'environnement et les chaînes alimentaires. Dans le Haut-Maroni, des habitants des communautés locales souffrent de contamination au mercure supérieure au seuil fixé par l'Organisation mondiale de la santé : l'empoisonnement chronique et insidieux vient s'ajouter aux morts violentes. Les bassins de vie du Haut-Maroni, comme de l'Oyapock, subissent le fléau de l'orpaillage. Les populations tirent une grande partie de leurs ressources du fleuve et de la forêt, qui sont fortement dégradés par l'orpaillage illégal, et elles subissent de plein fouet le corollaire de l'orpaillage que sont les divers trafics : drogue, alcool, prostitution, vols de pirogues et moteurs, pillage des cultures sur brûlis, des territoires de chasse, etc.

Pourquoi un tel constat maintes fois répété ? Combien de nouveaux morts devront encore être déplorés, au nom de la guerre de l'or et dans l'indifférence quasi-générale ?

Le phénomène de l'exploitation de l'or illégal est ancien, complexe, et implique de nombreux facteurs sociaux répartis de part et d'autre de la frontière franco-brésilienne. Depuis la dernière crise monétaire mondiale, l'or illégal a généré une économie parallèle spécifique, dont dépendent maintenant des dizaines de milliers de personnes en zone frontalière. Aucune solution pérenne ne
peut être envisagée en l'absence d'une action judiciaire déterminée et adaptée au contexte, ainsi que sans mobilisation bilatérale réelle, impliquant conjointement le Brésil et la France.

C'est pourtant ce que prévoit d'initier l'accord bilatéral spécifique "entre le gouvernement de la République française et le gouvernement de la République fédérale du Brésil dans le domaine de la lutte contre l'exploitation aurifère illégale dans les zones protégées ou d'intérêt patrimonial" : signé en 2008, il n'est à ce jour toujours pas ratifié par les élus brésiliens.

Par ailleurs, nous déplorons que lors des dernières discussions sur le partenariat stratégique franco-brésilien de décembre 2012, démarche conjointe entre le Brésil et la France, la problématique de l'or illégal de Guyane n'ait davantage été reconnue comme une des politiques de coopération prioritaires.

Un an après la déclaration de guerre de l'or, les signataires de cette lettre ouverte regrettent amèrement l'absence totale d'avancée dans la résolution de cet te situation, pourtant parfaitement connue. Devant un tel scandale socio-environnemental, l'inauguration prochaine du pont sur l'Oyapock, censé réunir fraternellement les rives françaises et brésiliennes, pourrait raviver des tensions déjà fortes. Et un an avant l'ouverture de la prochaine Coupe du monde de football au Brésil, c'est l'image de ce pays qui s'écorne sur la scène européenne.

Signataires : Jean-Jacob Bicep, eurodéputé d'Ile-de France (Verts/ALE) ; Catherine Grèze, eurodéputée du Sud-Ouest (Verts/ALE), Nicole Kiil-Nielsen, eurodéputée de Bretagne (Verts/ALE), Aline Archimbaud, sénatrice de Seine-Saint-Denis (EELV), François-Michel Lambert, député des Bouches du Rhône (EELV), Chantal Berthelot, députée de Guyane (PS), Geneviève Gaillard, députée (PS) des Deux-Sèvres, Catherine Quéré, députée (PS) de Charentes-Maritimes, Philippe Germa, directeur général de WWF France, Allain Bougrain Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux, Patricia Tabournel Prost, présidente de Guyane nature environnement, Benoît Hurpeau, Groupe d'étude et de protection des oiseaux en Guyane



26/06/2013 - Programme des animations gratuites tortues marines du week-end pour les vacances 2013

L'association Kwata vous propose tous les week-end des mois de Juillet et Aout des animations gratuites sur les plages de l'Ile de Cayenne.






11/06/2013 - Communiqué de presse : Une autoroute de migration des tortues vertes identifiée !

Dans le cadre du plan de restauration des tortues marines de Guyane, 16 tortues vertes ont été équipées de balises ARGOS/GPS entre mars et mai 2012. L'objectif : mieux comprendre les déplacements côtiers et océaniques de ces espèces entre leurs pontes.
Près de 15 mois après le démarrage de ce programme, les informations collectées permettent de mettre en évidence une véritable "autoroute de migration".


16 balises Argos ont été déployées au total entre mars et mai 2012 par le CNRS IPHC, via le projet CARET2. 8 tortues vertes (Chelonia mydas) ont été équipées de ces émetteurs télémétriques au sein de la réserve naturelle de Galibi, située à l'embouchure du fleuve Maroni (frontière entre la Guyane française), au Suriname. 8 autres individus bénéficiaient de ce même suivi sur les plages de la réserve naturelle de l'Amana (Guyane). Ces régions sont particulièrement importantes pour cette espèce pendant la saison des pontes. Ces mêmes eaux demeurent particulièrement sujette aux pressions de pêche illégale.

> La côte guyano-brésilienne : une "autoroute de migration"
Principal résultat de cette étude : les 16 tortues vertes ont emprunté un parcours unique, longeant la côte de Guyane, à très faible distance du rivage (moins de 30km), contrairement à la tortue luth (Dermochelys coriacea), qui quitte la Guyane en empruntant de nombreuses voies maritimes différentes.
L'ensemble de ces tortues vertes a franchi la frontière franco-brésilienne de l'estuaire de l'Oyapock entre avril et août 2012. Par la suite, ce groupe a continué son voyage côtier, partiellement modifié par le passage de l'estuaire de l'Amazone (dans cette zone, certaines tortues vertes ont augmenté leur distance à la côte). Mais au-delà de cet estuaire au courant exceptionnel, le groupe a repris un parcours proche du littoral, pour successivement croiser les côtes brésiliennes de l'Amapa, du Para, du Maranhao, du Paui, pour finalement stationner au large de l'Etat de Ceara.





































> Un voyage périlleux
Mais ce déplacement au long court ne s'est pas toujours fait sans embuches : selon les signaux reçus, il semble que la tortue "Wori", équipée la 10 mars 2012 à Galibi au Suriname, ait été victime d'une capture accidentelle lors de son passage au large de l'Amapa, comme le suggèrent les émissions reçues à partir d'un village de pêche du littoral amapaense.

Tortue verte flottant dans un filet sur le Maroni / ©A. Renaudier


Par ailleurs, le dernier signal détecté provient de la tortue baptisée "Yaèle", équipée à Awala Yalimapo le 22 mai 2012, et repérée au large de la localité d'Itarema (Cearà, Brésil) le 13 février 2013, soit après avoir parcouru environ 3 400km !

Grâce à cet effort coordonné de suivi de la tortue verte à partir des plages de ponte du Suriname et de Guyane, le projet CARET2 a permis de mettre en évidence une véritable "autoroute de migration". Ces éléments appellent à la mise en place de nouvelles initiatives de coopération régionale, avec le Brésil cette fois.

Le projet CARET2 s'inscrit dans le cadre du Plan de Restauration des tortues marines de Guyane, et bénéficie du soutien du PO Amazonie, du CNES, et du MEDE. Piloté par le WWF, il associe l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS), l'association Kwata, le Parc Naturel Régional de Guyane, et le WWF Guianas (Suriname).










10/06/2013 - Venez fêter la journée de la Mer avec Kwata !

A l'occasion de la Journées de la Mer, Kwata organise une animation GRATUITE et ouverte à TOUS.
Le Lundi 10 Juin Plage de Zéphyr de 16h à 18h, venez nombreux retrouver l'équipe d'animation de KWATA !!










































































13/05/2013 - KWATA passe sur France Inter !


C'est l'année dernière que l'équipe de l’émission CO2 mon amour, diffusée tous les samedi entre 14h et 15h (heure métropolitaine)sur les ondes de France Inter, est venue interviewer l'équipe Kwata afin d'en connaitre un peu plus sur la ponte des tortues marines et en particulier des tortues luths.
Et c'est donc samedi dernier (le 11 mai) que le reportage a été diffusé sur les ondes de France Inter, permettant ainsi à l'association de communiquer au delà de la Guyane sur son travail auprès des tortues marines ainsi que les menaces qui pèsent sur ces dernières.





Vous pouvez dés à présent ré-écouter l'émission ICI, où vous pourrez entendre Morgane Lescot accompagnée de Jérémy l'un de nos saisonniers animations de l'année passée.






























23/04/2013 - C'est le début de la saison de ponte !

C'est officiel, les tortues luth (Dermochelys coriacea) sont arrivées! Nous pouvons encore observer les dernières tortues vertes (Chelonia mydas), bientôt suivront les tortues olivâtres (Lepidochelys olivacea), plus petite espèce de tortue marine au monde, mais également la plus menacée à l'échelle régionale. Nous aurons aussi peut être la chance d'apercevoir les plus rares sur nos côtes, la tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata), elles sont entre 6 et 10 à venir pondre sur nos côtes ; et la tortue caouanne (Caretta caretta) qui reste rarissime en Guyane. Observée l'année dernière par nos équipes, la rencontrer sur la plage reste un moment exceptionnel.


































Avec le début de la saison de ponte, les premières patrouilles de sensibilisation ont commencé sur les plages. En effet, une poignée de bénévoles sont à pied d’œuvre pour limiter les mauvais gestes et incidents autour des tortues marines.

Voici un petit rappel des consignes d'observations, afin que ces moment restent agréables à tous et permettent aux tortues de venir pondre en toute quiétude.


Un bel exemple de ce qu'il ne faut pas faire !!


Petit rappel des consignes d'observations :
- Se placer hors du champ de vision de l'animal.
- Ne pas éclairer la tortue en phase de déplacement mais attendre le creusement, la ponte ou le comblement du nid.
- Si vous éclairez, faites le toujours par l'arrière et privilégiez les lumières avec filtres rouge (distribués gratuitement pas l'association). Pour les tortues olivâtres et vertes, il est déconseillé d'éclairer, car très farouches elles pourraient quitter la plage avant d'avoir finit de pondre.
- Ne pas utiliser de flashs photo durant les phases de déplacement.
- Ne pas flasher l'animal de face.
- Ne pas monter sur la tortues.
- Ne pas toucher la tortue ou les œufs.
Tout simplement respecter l'animal.







Chaque semaine, les mardi et vendredi soir, nous proposons des sorties gratuites et ouvertes à tous pour venir découvrir la ponte des géantes des mers (réservation obligatoire). N'hésitez pas à nous contacter au 05.94.25.43.31 ou encore sur notre adresse mail à asso@kwata.net.









































23/04/2013 - Exposition photo au NOVOTEL "En Immersion avec les tortues marines de Guyanes"

Du mois d'avril au mois d'août, les tortues marines viennent pondre sur les plages de Guyane selon un rituel immuable. L'association Kwata et le NOVOTEL Cayenne vous proposent de découvrir leur univers à travers 41 photographies.

L'exposition vous présente les trois espèces de tortues marines venant pondre en Guyane, de la phase de ponte à l'émergence. Mais aussi les menaces naturelles et anthropiques qui pèsent sur elles, ainsi que les actions mises en œuvres afin de les préserver.







22/02/2013 - Découverte des photos-piégeages des Nouragues


Comme nous vous en avions parlé en Octobre dernier, l’association Kwata avait mis en place, au sein de la Réserve Naturelle des Nouragues, un dispositif de photo-piégeage destiné à évaluer les densités de jaguars et pumas (Cf Brève du 05/10/2012).
Au total, 34 appareils photos réparti sur environs 150 km² ont été posés.

En Janvier les pièges photos ont été récupérés par l’équipe. Les clichés nous ont révélés de belles surprises que nous vous faisons découvrir,…
























































































































La grande surprise aura été lors de la découverte des photos d'une meute de chiens bois,... des photos exceptionnelles!










22/02/2013 Les photos de la Journée Mondiale des Zones Humides : Action "plage propre" aux Salines de Montjoly

Dans le cadre de la Journée Mondiale des Zones Humides qui se déroule tous les ans le 2 Février, l'association Kwata s'est jointe à l'association Mofaya et à la Sepanguy pour aller nettoyer la plage et le sentier des Salines de Montjoly.
Un moment convivial qui a permit de rendre le site à nouveau propre. La matinée s'est clôturée de façon conviviale autour d'un planteur.

























































































24/01/2013 - Zournée Mondiale des Zones Humides : Action "plage propre" aux Salines de Montjoly.

Chaque année, la Journée Mondiale des Zones Humides (JMZH) est célébrée le 2 février, pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar. Depuis 2001, en France, les organismes gouvernementaux, les organisations non gouvernementales et les groupes de citoyens participent à l’événement et organisent des actions de sensibilisation du public sur les zones humides, et la Convention de Ramsar.

Samedi 2 Février 2012
Action « plage propre » aux Salines


Rendez-vous entre 8h et 12h, parking du quartier Saint Dominique à Rémire-Montjoly
Action mise en place par l’association MOFAYA en partenariat avec le Conservatoire du Littoral, les associations Kwata, SEPANGUY, GRAINE Guyane, Guyakite school,...

VENEZ NOMBREUX

MOFAYA est une association sportive visant à développer la pratique d’activité nautique traditionnelle.
Hormis la pratique de la rame sur pirogue traditionnelle, l’association est engagée dans des actions éducatives en faveur de jeunes de quartiers sensibles et des actions valorisant le respect de l’environnement.

Organisation de l’événement : Association MOFAYA
Contact: nolivestel@hotmail.fr - 06 94 22 62 48



Télécharger le programme des manifestations en Guyane ici




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Nouveau programme des animations tortues

Le programme des animations tortues marines pour l'été 2023 est sorti!

Un programme ludique et pédagogique pour sensibiliser les enfants sur la préservation de la biodiversité guyanaise et en particulier les tortues marines qui viennent pondre sur nos plages.

Pour plus d'infos, contactez nous: alexander@kwata.net

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Lancement d'un programme de sciences participatives

A partir d'avril 2023, dans la continuité du projet Itulu Malo, l'association mettra en place un programme de sciences participatives sur le site naturel protégé de l'habitation Vidal, dont elle est co-gestionnaire.

Trois projets seront proposées au public et usagers du sentier, leur permettant de participer à la collecte des données scientifiques qui serviront à améliorer l'état des connaissances en matière de biodiversité du site.

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Appel à projet à destination des classes de cycle 3

DANS LE CADRE DE L’APPEL À PROJET “TE ME UM” LANCÉ PAR L’OFFICE FRANÇAIS DE LA BIODIVERSITÉ, L’ASSOCIATION KWATA A ÉTÉ RETENUE POUR LE PROJET PÉDAGOGIQUE “SENSIBILISATION DES ENFANTS AUX MILIEUX NATURELS DE GUYANE AU TRAVERS DE 3 SITES DU CONSERVATOIRE DU LITTORAL”.

NOUS RECHERCHONS 3 CLASSES DE CYCLE 3 POUR NOUS ACCOMPAGNER DURANT L’ANNÉE SCOLAIRE 2022/2023 SUR CE PROJET (ENVIRON 20H D’INTERVENTION À RÉPARTIR SUR LES TROIS TRIMESTRES).

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